Avant de commencer l’étude de la messe en ré majeur de Dvorak, pièce principale du programme 2024/2025, Christophe nous propose une pièce courte de Tchaikovsky, arrangée pour choeur en 1889: « the crown of roses » ( texte d’un poète américain)
Rappel pour tous: Pascal a déjà déposé sur le site les fichiers de travail voix par voix
The crown of roses, Tchaikovsky
Pour tous, césures et respiration sur les virgules
Pour tous, bien articuler, marquer les consonnes, bien lier le début. Bien décomposer « when » en « ouen », de façon à ne pas trop appuyer sur le é
Pour les ténors, vous devez « briller »
Pour les basses, bien soutenir
Pour les sopranes, attention de mesurer le volume. On accompagne les ténors.
De 19 à 23, plus de ténors.
53-54, pour tous, « fingers pressed » liés . Pour les ténors, partie la plus compliquée du morceau
Attention pour tous, en 62, « blood » se dit entre blod et bled, et non pas bloud
En 66, « sprung » se dit sensiblement comme « un » en français.
Messe en ré majeur, Dvorak
avertissement de Christophe: il faudra chanter par coeur
Encore romantique, « pétrir le son »
Pulsation à la blanche pointée
Kyrie eleison ( 7 premières pages, déchiffrage)
C’est une fugue. avec de nombreux départs décalés
Appui sur mesure 14, élargissement ensuite.
Comme toujours, la consonne finale sue chante contre le temps qui suit
( « so…nkyrie »)
Jusqu’à 40, chanter « avec tendresse »
Les finales « son » doivent être courtes et légères, suspendues.
Penser à bien chanter les noires.
Soprane, en 40, mutation au niveau du mi bécarre
En 44, ténors et basses, fort accent sur « ky »
Pour tous, à partir de 55, noter que le déroulé de la fugue est cassé